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  Evaluer, Identifier, Prioriser
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    Evaluer, Hiérarchiser, Cartographier – Diagnostic RPS quantitatif
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    Comprendre et préciser – Enquêtes qualitatives
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    Indicateurs & baromètres – Document Unique
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    Enquête de harcèlement
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    Audit Risque violence & agression
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    Absentéisme: identifier les causes pour agir
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  Trouver des solutions
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    Groupes focus
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    Groupes de travail
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    Transformer les solutions en Plan d’action
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  Structurer la démarche
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    Développer l’autonomie Comité de Pilotage
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    Aide à l’élaboration et au suivi du Plan d’action
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Tout de suite, je peux réduire mon stress par des techniques corporelles :

1. Je respire profondément et lentement en soulevant le ventre à chaque inspiration et en rentrant le ventre à chaque expiration.
2. Pendant ce temps, je ferme les yeux et j’essaye de ne plus penser à rien et de faire le vide dans ma tête. Ou je visualise des images positives pour moi (un endroit agréable,…).
3. Si je suis assis, pour l’exercice de respiration, j’essaye d’avoir le dos bien droit et étiré vers le haut comme si un fil passait par ma colonne et me tirait par le sommet du crâne. Si j’en ai la possibilité, je m’allonge par terre pour faire l’exercice de respiration, avec le dos bien à plat et les jambes légèrement repliées.
4. Je vais faire une marche à pied de 30-45mn chaque jour, à l’heure du déjeuner si cela est possible, ou je fais une partie du trajet pour aller ou rentrer du travail à pied ou je vais marcher dans la forêt ou dans un parc dès que je peux.
5. Si j’aime le sport, je reprends une activité sportive hebdomadaire (natation, foot, jogging,…). Si je préfère les approches orientales ou plus douces, je m’inscris à un cours de yoga, méditation, Qi Cong, sophrologie ou autre technique de relaxation.
6. Si je suis très énervé, j’évite de tout garder dans le ventre, ou de passer mon énervement sur mes proches ou sur la cigarettes ou dans l’alcool. Pour lâcher la pression, je crie à plein poumons dans ma voiture vitres fermées, ou je vais courir dans la forêt, ou je m’achète un punching ball pour frapper dessus.

Je me protège :

• Dans la journée, je m’organise quelques pauses de 5mn où je me retire et je ne fais rien ou, où je me détends avec mes collègues.
• J’évite de sauter les repas et de manger un sandwich seul à la va-vite. Si le déjeuner est un moment sympathique et convivial avec des collègues de travail, je préserve mon déjeuner. C’est une pause indispensable.
• Au moins une journée par semaine, je ne travaille pas, je me repose ou je profite de ma famille et de mes amis et j’essaye de ne pas penser au travail.
• Même si le moral n’est pas très bon, j’évite de m’isoler et de me replier sur moi-même. J’appelle et je vois mes amis, je fais des activités avec eux. Je sors, je vais voir des spectacles ou des choses qui m’intéressent, je trouve des occasions de rire.
• Je ne mets pas « tous mes œufs dans le même panier ». Il n’y a pas que le travail dans la vie: il y a aussi ma vie, ma santé, ma famille si j’en ai une, mes amis, d’autres sources d’intérêt. Je trouve d’autres sources d’intérêt de de plaisir dans la vie, m’investis dans une autre activité qui me fait du bien, donne du sens à ma vie ou me vide la tête (hobby, activité bénévole, activité artistique, activité en plein air, etc.).

Si mon stress est lié à une suite d’évènements difficiles (mort d’un proche, maladie grave, divorce, départ d’un enfant, licenciement,…), je prends soin de moi et je me ménage.

Si j’ai le sentiment que mon stress est lié à mon mode de fonctionnement psychologique habituel que je n’arrive pas à le mettre seul en cause, je peux envisager de travailler sur moi-même, à l’aide par exemple d’une psychothérapie qui va me rendre plus conscient de mes propres modes de fonctionnement.